Elizabeth

Legros Chapuis

 
 
     

Communauté Hellénique
de Paris et des Environs

Tel : 01 47 04 67 89

 

Ελληνική Κοινότητα
Παρισιού και Περιχώρων

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La Communauté Hellénique de Paris et des environs
 

 

 

 

LA COMMUNAUTE HELLENIQUE DE PARIS

et DES ENVIRONS


a le plaisir de vous inviter à la présentation du livre
d'Elizabeth Legros Chapuis


"REGARDER LA GRECE'
The BookEdition.com

Jeudi 24 mai 2018 à 19 heures
Maison de la Grèce, 75116 Paris, M° Victor Hugo
cocktail

 

 

 

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Elizabeth Legros Chapuis a suivi des études de lettres modernes à Paris. Après avoir vécu une dizaine d'années en Grèce (Athènes, Mykonos), elle revient en France et s'oriente vers le journalisme.

Grande lectrice de Roger Vailland, elle a créé, avec Alain Georges Leduc, le site consacré à cet écrivain. Elle a aussi réuni des études sur son œuvre, dans les Cahiers Roger Vailland (éd. Le Temps des Cerises).

Elle collabore à diverses revues telles Écritique, La Faute à Rousseau, Borborygmes, ainsi qu'à différents sites culturels : Autour des auteurs, Castalie, La Revue des Ressources... Elle fournit également des articles à Wikipedia, notamment sur des auteurs grecs (Nikos Kavvadiás, Kostas Takhtsís, Andréas Embiríkos...) ou anglo-saxons, et sur d'autres thèmes littéraires.

Depuis 2008, elle se consacre à des travaux d’étude dans le domaine littéraire. Elle contribue régulièrement aux activités de l'Association pour l'Autobiographie (APA), notamment à sa revue La Faute à Rousseau et au groupe de travail créé à la Bibliothèque Nationale de France pour l'archivage des journaux personnels en ligne.

Elle a publié plusieurs ouvrages :

- Dans la forêt des livres, essai sur l’image de la forêt dans la fiction francophone (Books on Demand, 2016),
- Roger Vailland, l’essence d’un style, recueil d’articles sur cet écrivain (Le Coin du Canal, 2014),
- Des femmes dans le noir, essai sur les auteurs femmes anglophones de romans policiers de la période 1975-2000 (Le Coin du Canal, 2012),
- Le Mexique, un cas de fascination littéraire – Au pays des chiens morts, essai sur l’attirance que le Mexique exerce sur les écrivains (éd. de L’Harmattan, 2011).

Dans Regarder la Grèce, Elisabeth Legros Chapuis, qui connaît très bien ce pays et y est profondément attachée, a souhaité passer en revue quelques auteurs – essentiellement français – qui, au XXe siècle, en ont parlé, y ont planté le décor de leurs romans ou ont voulu livrer, à leurs lecteurs, des impressions de voyage, agrémentées d'analyses et de commentaires divers.
Parallèlement à ce travail, une nécessité s'est fait jour: étant donné ses liens particuliers avec la Grèce, elle se devait aussi d’évoquer ce qu'elle en connaissait, elle-même, « de première main » et de confronter, ensuite, au gré des thèmes abordés, ses propres réflexions à celles des écrivains, visiteurs, voyageurs, chercheurs ou érudits qu'elle citait. D'où les deux versants de son livre consacrés à un pays sur lequel nous sommes invités à ajouter le regard d’un... troisième œil !

Brossons un rapide portrait du livre d’Elisabeth, Regarder la Grèce, d’abord à l’aide de quelques statistiques. Il comporte deux parties : une première de 40 chapitres qui se partagent presque à égalité : 22 consacrés à l’investigation de ses thèmes de prédilection entrecoupés de 18 autres, d’orientation plus personnelle –appelés interludes – apparaissant en italique ; dans la seconde partie, elle présente, par ordre alphabétique du nom des auteurs, non 10 livres mais, comme elle le dit, 9+1, tous « inspirés, nourris, construits par la passion de la Grèce ». Le plus ancien date de 1929 et le plus récent de 2008. Le dixième est à part, il est dû à la plume du yougoslave Predrag Matvejevitch et s’intitule : Bréviaire méditerranéen ; en effet, il n’est pas exclusivement consacré à la Grèce mais à la Méditerranée ; toutefois, la Grèce y occupe une place de premier plan.
C’est ainsi que le livre d’Elisabeth Legros Chapuis, riche de tout un luxe de détails circonstanciés et d’érudition passionnante, propose de Regarder la Grèce, avec autant de brio que d’intimité.

 


Marie Roblin.
 

 


 

 

                                                                                                                                                    

 

 

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